Numéro |
Rev Orthop Dento Faciale
Volume 27, Numéro 4, Décembre 1993
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Page(s) | 415 - 430 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/odf/1993040 | |
Publié en ligne | 30 mars 2010 |
A propos d'un cas de désordres algiques et dysfonctionnels de l'appareil manducateur. Quelle est la bonne école ?
Hôpital Charles Foix, Service d'Odontologie, 7, av. de la République, 94200 Ivry-sur-Seine
L'auteur présente un cas assez exceptionnel de désordres cranio-mandibulaires qui illustre comment des variables initialement anodines (dans cet exemple : des interférences non travaillantes ou une hypermobilité mandibulaire) peuvent être engagées dans un processus psychophysiologique et déterminer l'émergence d'une pathologie dysfonctionnelle. En s'appuyant sur ce cas clinique, l'auteur discute les mérites d'une approche intégrée de la pathologie fonctionnelle (caractérisée par les interactions de multiples variables), comparés aux inconvénients d'une approche fragmentée, pluridisciplinaire, recherchant des relations causales entre la pathologie et une anomalie spécifiée.
Abstract
The author reports a quite unique case of craniomandibular disorders which illustrates how originally innocuous variants (in this example a non working dental interference or T.M.J. hypermobility) can be recruited through a multifactorial psychophysiologic process in the service of actualizing pathological dysfunction. The author further discusses the merits of an integrated approach of C.M.D. compared to a multidisciplinary approach.
Mots clés : Désordres cranio-mandibulaires
Key words: Craniomandibular disorders
© Revue d'Orthopédie Dento-Faciale, Paris, 1993
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