Numéro |
Rev Orthop Dento Faciale
Volume 38, Numéro 2, Juin 2004
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Page(s) | 195 - 201 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/odf/2004014 | |
Publié en ligne | 30 mars 2010 |
Cas clinique d'orthopédie de classe II. L'orthopédie passée au crible de la céphalométrie ou l'inverse ?
Adresse de correspondance: 0. SOREL,
1, square de Flandre,
35000 Rennes
Notre exercice, s'il est un art, se doit, ne serait-ce que par humanisme, d'apporter une solution efficace et sûre aux problèmes que nous confient nos patients. Or les protocoles de traitement utilisés pour corriger un décalage de classe II sont très variés. Il n 'existe pas de consensus qui rallie l'ensemble de la communauté des orthodontistes autour d'une attitude thérapeutique. Les traitements fonctionnels par activateur n'échappent pas à cette règle.
La contestation des effets de l'orthopédie de classe II se fonde sur la difficulté d'apporter une preuve statistique sur le contrôle de la croissance des bases osseuses. Deux questions se posent : Le système de mesure, basé sur la téléradiographie de profil est-il bien adapté ? Les statistiques sont-elles le meilleur moyen d'évaluation ?
L'étude du dossier de cette patiente illustre bien ce propos.
© Revue d'Orthopédie Dento-Faciale, Paris, 2004
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